jeudi 29 novembre 2012

Va où le vent te porte


"... depuis quelques temps, je me réveille auprès de la femme que j'aime, elle me surprend, me fait rire, me bouscule et me passionne, son enthousiasme me fascine à longueur de journée et le soir quand elle se déshabille, elle me fait terriblement... comment dire... elle m'émeut ; vous voyez que je ne suis pas à plaindre et, sans vouloir fanfaronner, je vous le dis sincèrement, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie."

Marc Levy, La Première Nuit.


8 commentaires:

Tatiana a dit…

Bien joli texte et une belle prise, j'aime cette atmosphère !

Fantômette a dit…

Merci :) Enfin si c'est pour moi ;)

Elsaxelle a dit…

J'en connais une qui doit être heureuse. Beaucoup de bonheur à partager en un mot : PROFITEZ !

Fabien a dit…

Merci Elsaxelle ! Blogspot m'a interdit tout droit de réponse tout au long de la journée, impossible d'écrire chez moi, le comble, mais ton commentaire en est une : j'espère effectivement qu'une femme (celle à laquelle je pense) peut être heureuse. J'espère.

'Tsuki a dit…

Des mots qui me rappelle une scène dans Palais Royal, quand le Prince se découvre amoureux de sa femme qu'il n'a jamais aimé jusqu'alors...

Mais vous ce n'est pas pareil ; c'est une belle déclaration, intemporelle.

k@ a dit…

Des vertes d'un tendre, j'aime bcp l'angle bas !

k@ a dit…

Des vertes d'un tendre, j'aime bcp l'angle bas !

LH a dit…

C est mon raccourci vers ta page, lorsque je viens faire un tour j arrive là, mais je pense que google doit y être pour qq chose et surtout Lévy ;-)